La doctrine humaniste soutient que tout être humain a un besoin incessant d’apprentissage, ce qui le pousse à vouloir sans cesse se surpasser et de tenter de comprendre le monde qui l’entour. Auparavant, les gens croyaient que la terre était plate mais à la lumière des découvertes de Christophe Colomb on a plutôt découvert que la terre était ronde. À une certaine époque l’on croyait également que la terre tournait autour du soleil, une croyance démenti pas Aristarque De Samos, astronome et mathématicien, qui a découvert que c’était plutôt le soleil qui tournait autour de la terre. Tout ceci m’amène à la question suivante : Le doute nuit-il à la connaissance? Pourquoi ne pas simplement s’en tenir à ce que connaît? Pour pouvoir répondre à cette question il faudra ce questionner sur ce qu’est le doute exactement? Douter nuit-il à nos connaissances? Si l’Homme n’avait pas douté qu’il soit possible de marcher sur la lune, malgré l’apparente impossibilité de l’époque, comment aurait-il pu y arriver un jour? En réponse à cette question, je crois que le doute n’est pas nuisible à la connaissance. Dans cet ordre d’idée, il va sans dire que le doute n’est pas nuisible à la connaissance. Si on prend en considération que le doute signifie « [l’] état de l’esprit qui ne se sent pas assez éclairé pour porter un jugement et prononcer entre deux hommes ». Il est ainsi fort probable que l’Homme tentera de connaître toutes les possibilités devant un sujet auquel il ressent une certitude puisqu’il n’y a pas seulement un choix qui s’offre lui mais plusieurs. Vérifions ensuite la signification de nuire « Faire du mal, du tord à quelqu’un », pourrait-on dire que le doute a nuit à Copernic lors de sa découverte de la théorie de l’héliocentrisme? Pas du tout, s’il ne s’était questionné sur les phénomènes terrestres en laissant de côté ses idées reçues au préalable, il n’aurait jamais découvert que la terre n’était pas au centre de l’univers. Maintenant définissons le mot connaissance «