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La catharsis doit faire éprouver deux émotions au spectateur : la terreur et la pitié. Ces deux émotions doivent permettre au spectateur de se purifier de ses passions (mauvaises).
Un spectateur qui assiste à la représentation d'Oedipe (connais-tu l'histoire?) doit éprouver de la terreur et de la pitié face à Oedipe qui a commis un meutre en tuant son père et un inceste en épousant sa mère (sans le savoir) Cela provoque de l'effroi, de la terreur. Sa mère se tue en apprenant que son époux est son fils et Oedipe se crève les yeux et devient un mendiant : cela provoque de la pitié.
Ces émotions violentes pour un spectateur doivent le dissuader des passions de mort (meutre) et d'eros (l'inceste.) fffffffffffffffffffffffffffffffJe prendrai pour point d'appui la violente critique du théâtre qui se développe à l'âge classique, d'abord sous sa forme rigoriste - les traités de Nicole et Bossuet[1] —, puis telle qu'elle est reprise par Rousseau dans sa Lettre à d'Alembert sur les spectacles. Ces deux séries de textes offrent des similitudes frappantes ; et pourtant elles relèvent de conceptions diamétralement opposées au sujet de la théorie des passions et indiquent ainsi un clivage irréversible qui sépare Rousseau des grands théoriciens classiques. Bien entendu, cette similitude et la question des divergences qu'elle peut masquer ont été déjà relevées par plusieurs commentateurs, notamment Margaret M. Moffat dans son ouvrage Rousseau et la querelle du théâtre au XVIIIe siècle qui elle-même cite le commentaire de Fontaine dans son édition de la Lettre à d'Alembert, et plus récemment d'une part Jean Goldzink dans Les Lumières et l'idée du comique (Cahiers de Fontenay : ENS Fontenay-Saint Cloud, 1992) et d'autre part Laurent Thirouin dans son édition du Traité de la comédie de Nicole (Paris : Champion, 1998) ainsi que dans l'ouvrage qu'il a consacré à la querelle du théâtre[2]. Je me propose de rendre compte de cette similitude et de cette opposition d'une manière quelque

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