THIBAULT Vincent
CM Vie Sociale et Travail
Débat
Jeunesse et pauvreté

Je défends la position qui est de dire que les jeunes ne sont pas tant que ça concernés par la pauvreté, pas plus qu’avant et que dans d’autres pays. J’interroge la notion de pauvreté et la notion de jeunesse. Et je mets en avant des dispositifs qui permettent de réduire ou supprimer l’éventuelle pauvreté des jeunes. * De quelle pauvreté on parle ? * Pauvreté monétaire (niveau de vie inférieur au seuil de pauvreté, qui se situe à 50 ou 60% du revenu médian), pauvreté absolue (qté minimum de B & S, 10 euro / jour), ressentie, conditions de vie (nb de privations). * Pauvreté monétaire : 60% RM : 13,5% en France, 2009. 16,4 UE. 17,1 RU. 15,6 Allemagne. * Attention aux chiffres : 50 ou 60%. Grosses différences. * 50% : 12% en 1970. 7,5% en 2009. * 60% : 17.9% en 1970. 13.5% en 2009. * Critique notion pauvreté monétaire : si on multiplie les revenus par 2, cela ne change rien. Et si tout le monde est pauvre, il y a une faible pauvreté monétaire. * Difficulté de faire la différence entre les revenus de la personne et ceux des parents. Quelles ressources prendre en compte ? Changement selon critères. * Taux de pauvreté des jeunes français < moyenne UE. Allemagne, Italie, Finlande ont taux + élevé. Ecart entre les jeunes et la population torale est dans la moyenne européenne. * Mesures par rapport à ménages, or jeunes en changent souvent, quitte les parents partiellement ou totalement, situation intermédiaire. Si on prend en compte l’ensemble des aides privées, taux de pauvreté pas plus élevé que la population globale. * Effectivement, logement cher mais les logements se sont améliorés. Et puis il y a les logements CROUS. * Permis à 1 euro / jour * Tarif étudiant partout * Population pauvre se renouvelle d’un tiers tous les ans donc situation provisoire. * Les prestations sociales