Dépendances, interdépendances en am
Pour combattre pblm éco, pays d’Amérique latine ont engagé des réformes structurelles d’inspirations libérales connues sous le nom de « consensus de Washington ». Cela part du Chili post Pinochet et se diffuse sur tout le continent. L’ISI est abandonnée pour favoriser l’internationalisation de politique et l’ouverture aux capitaux étrangers. Mais de nvlles formes de dépendances apparaissent et provoque des résistances de la part des populations. Dans certains pays comme le Venezuela, la fin des années 2000 est marquée par un retour de l’Etat sur la scène économique.
I. L’Amérique latine et le consensus de Washington
« Consensus de Washington » : expression employée en 1989 par l’économiste John Williamson pour désigner les recommandations à l’usage des Etats désireux de dynamiser leur économie. Ces réformes sont souvent douloureuses pour les fonctionnaires et les bénéficiaires des politiques publiques.
A. La libéralisation des échanges 1. L’ouverture des frontières
Ouverture commerciale est une priorité, et plusieurs ays comme l’Argentine, Mexique ou Chili ont mis en place des politiques de promotion des exportations.
On assiste à un renversement complet de la position mexicaine : Mexique met en place politique d’ouverture après 1982, et la pénétration de produits étrangers permet d’offrir des produits moins chers aux consommateurs. L’adhésion au Gatt en 1986 ponctue cette ouverture.
Rare sont les dirigeants d’Amérique latine qui souhaitent un retour au protectionnisme, cependant des dirigeants comme Lula (Brésil) veulent en finir avec les subventions agricoles des pays du Nord qui désavantages leurs produits agricoles.
2. La dollarisation des économies
Ouverture des frontières s’accompagne d’une libéralisation des taux de change, et le $ règne en maitre sur les économies régionales. Mais c’était le cas au Panama et dans beaucoup de pays centre-américains avant mm