ECJS
"C’est un blasphème pour un musulman. C’est lui qui est concerné par les préceptes de l’islam. Mais un non musulman, il a le droit de faire ce qu’il veut"
Manuel Valls l'a dit devant l'Assemblée nationale, "le blasphème n'est pas dans notre droit, il ne le sera jamais"
En France, la plupart des poursuites contre des propos antireligieux se font en effet sur la base des articles 24 et 32 de la loi de 1881 sur la presse.
Le premier institue le délit d’"incitation à la discrimination, à la haine ou à la violence […] en raison de l’appartenance […] à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée". Le second concerne la diffamation dans le même contexte dans huit pays membres de l'union européenne le blasphème est un délit. Ce terme est mentionné dans la législation grecque, alors que l'Allemagne et la Pologne préfèrent parler "d'offense au sentiment religion". En Espagne, il est question "d'attaque porté au dogme religieux". Depuis 2010, l’interdiction du blasphème a été renforcée en Irlande et s’applique désormais à l’ensemble des religions et plus seulement au catholicisme. http://www.bfmtv.com/societe/blaspheme-que-dit-la-loi-en-france-857339.html Représentation du prophete
Mohammed Moussaoui, président de l'Union des mosquées de France, le certifie :"Il n'y a pas de texte coranique explicite qui parle de la représentation du prophète", affirme-t-il à francetv info
Liberté d'expression :
En France la liberté d'expression date du lendaimain de la revolution, c'est l'une des plus grande liberte et fierte de notre pays ! Dans la Déclaration des droits de l'homme et du citoyen de 1789 la liberté est le premier des quatre droits de l'homme.
« La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans