Ecriture d'invention à la manière de chateaubriand
De mon île, je peux apercevoir du monde sur la plage, des personnes qui n’ont pas l’air de se soucier de quelque attente ou question. Pourtant, un jour, ils disparaîtront. Tandis que les roches, l’eau, le phare et même la ville que je vois derrière la plage et les remparts demeureront.
Mais, est-t-il possible que je cesse d’exister, et que tous mes sentiments, mes rêveries, mes réflexions se volatilisent ?
Je reste là, perdue dans l’horizon lointain, songeant que l’Espace est sans borne et que le temps n’aura jamais de fin.
Seulement, n’est-il pas possible que mes pensées s’envolent avec mon âme et vivent éternellement tout comme ce paysage aux étendues infinies ?
Au loin, la mer et le ciel s’unissent dans une ligne d’horizon. Et ils semblent s’étendre encore au-delà sans ne jamais s’arrêter. Je m’assois, isolée, sur un grand rocher au dessus de l’eau. L’immensité du paysage me fait alors ressentir l’insignifiance de mon existence.
De mon île, je peux apercevoir du monde sur la plage, des personnes qui n’ont pas l’air de se soucier de quelque attente ou question. Pourtant, un jour, ils disparaîtront. Tandis que les roches, l’eau, le phare et même la ville que je vois derrière la plage et les remparts demeureront.
Mais, est-t-il possible que je cesse d’exister, et que tous mes sentiments, mes rêveries, mes réflexions se volatilisent ?
Je reste là, perdue dans l’horizon lointain, songeant que l’Espace est sans borne et que le temps n’aura jamais de fin.
Seulement, n’est-il pas possible que mes pensées s’envolent avec mon âme et vivent éternellement tout comme ce paysage aux étendues infinies