Eluard
Dénonciation de la guerre
- LA BRUYERE La guerre a pour elle l’Antiquité, Les Caractères : Jean de La Bruyère 17ème siècle. Moraliste français. Né à Paris en 1645. Mort à l’âge de 50 ans à Versailles (1696) d’apoplexie : attaque cérébrale.
L’œuvre Les Caractères, parut en mars 1688. Réelle dénonciation avec un registre polémique => Pour attaquer ou prendre la défense d’un comportement, d’un mode de vie, d’une institution ou d’une œuvre. La mise en évidence des prétendues valeurs de la guerre sert à mieux la critiquer.
Utilisation : - d’une accumulation de termes violents (se tuer, se brûler, s’égorger) ; - d’une absurdité de la réciprocité (tout le monde est détruit) ; - de l’ironie : prise de distance par rapport à ce qu’est dit. Trot d’insistance sur les notions de « depuis toujours », remise en cause du « belles » règles. Il fait semblant, il ne s’implique pas dans la notion de « gloire » ou d’art militaire. On trouve aussi une prise de position personnelle : « Je » => première personne du singulier. Il invoque le malheur, il accumule toutes les notions de destructions. Conclusion du texte : Explique d’où vient la guerre (de l’injustice, envie d’avoir le bien du voisin)
- DAMILAVILLE Paix, Encyclopédie : (Etienne Noël) Damilaville 18ème siècle. Epistolier et encyclopédiste français. Né à Bordeaux en 1723. Mort à l’âge de 45 ans à Ferney en visite chez Voltaire, d’un cancer de la gorge. Ami de Voltaire, familier d’un grand nombre des grands hommes comme Diderot. Il a une certaine haine de la religion, attaque en règle contre les religieux (« L’honnêteté théologique »).
L’article Paix, renvoie à l’article « Guerre » et lui l’ait écho dans une même dénonciation de la violence et des caprices des conquérants. Sous le prétexte de parler de la paix, Damilaville souligne à quel point la guerre apparait comme une entreprise contre la nature et contre la raison. Elle est condamné parce qu’elle s’oppose aux intérêts des citoyens et