* Cas : Emmanuelle Guérin
Cas : Emmanuelle Guérin
Mikel Choueiry 1562185
Mikel Choueiry 1562185
La problématique du cas concerne le département de technologie et développement de Parallax, qui, dans sa structure sociale, comporte « une hiérarchie d’autorité » [], mais présente des lacunes dans la division du travail et un manque de mécanismes de coordination. Cette situation dure depuis le départ d’une chef d’équipe, ‘Rachel Joncas’. Tout en bafouant les règles de nomination par la vice-présidente, ‘Emmanuelle Guérin’, une jeune employée sans expérience est nommée à la tête d'une équipe de travail à laquelle elle appartenait auparavant. Tout au long du projet, cette dernière se bat avec l’équipe qui doute de sa compétence en tant que chef de projet. L’équipe n’a pas pu atteindre son but collectivement, le client n’est pas satisfait : « il est loin d’être heureux », « il s’impatiente ». * ‘Emmanuelle’ est victime de sa nomination précoce au poste de gestionnaire. Son manque de confiance en soi et sa propre peur sont apparentes lorsqu'elle reçoit l'offre du poste de sa supérieure. Elle cite: « Je ne sais pas si je vais être à la hauteur de ce défi ». Par la suite, selon ‘Barjou’, il est indispensable «de se doter de règle du jeu » [] et « il est capital de clarifier au moins quatre aspects clés avec la hiérarchie : Modalité d’affection des ressources aux projets; le partage du pouvoir de décision entre responsables projet et métiers; les modalités d’arbitrage entre projets et métiers si besoin est; le positionnement des contributeurs ». Mais au contraire elle a perdu l’autorité sur l’équipe, elle n’a pas aidé à « favoriser l’implication » [] au sein de l’équipe, les membres sont effrités, par conséquent, les trois réunions ont échouées.
Quant aux employés programmeurs, notamment ‘Karine’, ‘Geneviève’ et ‘Pierre’, ils sont devenus démotivés et démobilisés, on observe un manque de cohésion et de coordination entre les membres de l’équipe. ‘Emmanuelle’