En 1754 Voltaire écrivait : « J’ai toujours regardé le travail comme la plus grande consolation pour les malheurs inséparables de la condition humaine ».
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En 1754 Voltaire écrivait : « J’ai toujours regardé le travail comme la plus grande consolation pour les malheurs inséparables de la condition humaine ». Selon vous, quelle est l’importance du travail dans le dernier chapitre de Candide ? Voltaire cherche-t-il à « faire la leçon » à ses lecteurs ? Si oui, comment s’y prend-il ? Si non, quel est le but de cette partie du texte ?Voltaire a utilisé Candide comme une devise politique et philosophique pour commentaire sur les injustices qu'étaient soufrés par la plupart de la population et mobilité sociale à l'époque où il écrivait, surtout à caisse du travail. Dans Candide il y a deux types du travail, obligatoire et facultatif. Voltaire a utilisé le travail en Candide pour montrer que l'ancien régime doit changer pour éviter une augmentation des inégalités sociales et l'instabilité.
La condition humain est la chose duquel consiste le bon et le mal du chaque humain, la façon de vivre, et les actions de chaque individu. Voltaire a voulu nos montre le danger de la cupidité et de ne rien faire, et pour ce faire dans "Candide ou l'optimisme», il illustre la chute de la noblesse. Dans le dernier chapitre de ce conte philosophique, le philosopher Pangloss a raconté les mortes des plusieurs hommes et a dit« les grandeurs sont fort dangereuses »1, tous qui sont nés riches et ils avaient eu une attitude laissez-faire en ce qui concerne à travailler. Voltaire croit que la noblesse était inutile et superflu dans la société appropriée, donc il a éliminé ceux qui souffrent à cause de la condition humaine, Voltaire cherche-t-il à faire la leçon à ses lecteurs que chacun doit faire sa parte et «faut cultiver notre jardin »2 pour améliorer la société, et contrairement à la société dans laquelle il a écrit, qui a été criblé de limites de la censure, le dogme religieux, l'intolérance et l'inégalité sociale, Voltaire était un homme qui « croyait fermement en cours »3, il voulait quelque reformes, mais il n’était pas concerné