En quoi les administrations publiques sont-elles essentielles pourla croissance économique ?
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Le savoir est chez l’homme une obsession depuis « la nuit des temps ». Dans notre société où la connaissance des choses est primordiale, « est-il possible de ne pas savoir ce que l’on fait ? »
Que signifie « savoir ce que l’on fait » ? Ne sommes nous pas des êtres conscients ? Nos actions sont-elles toujours réfléchies ? Suffit-il d’être conscient de ces actes pour en être responsables ? Nous devrons nous demander dans un premier temps si l’homme à le contrôle de lui-même ? Et dans un deuxième temps si nous avons le droit par rapport aux autres, si nous avons le droit de ne pas savoir ce que l’on fait ?
Dans la société très structurée dans laquelle vie l’homme, les individus qui la compose se doivent de faire preuve de « savoir-vivre » qu’ils acquérissent tout au long de leur vie, par le biais de « tuteurs » (surtout lors de la minorité intellectuelle) et par expérience personnelle (groupes d’amis, club…). Tous ces enseignements font de lui un être conscient et capable de contrôler ses états, ses actes et par conséquent quelqu'un de responsable.
Mais l’homme ne peut se contrôler en toute situation et circonstance, en effet les émotions et les pulsions, selon leurs intensités, peuvent bousculer ces enseignements et laisser notre inconscient se manifester. L’inconscient, théorie de FREUD, est « cet autre qui vit en nous ».
La consommation de produits tels que l’alcool altèrent le jugement et rendent euphorique.
Néfastes pour le psychisme, car ces produit altèrent les sens, et provoquent la perte de contrôle de c’est fait et gestes, et bascule dans une forme d’inconscience.
La conscience a ses limites du fait que nous soyons constamment influencer par le monde qui nous entour .On peut agir involontairement par mimétisme, qui selon René GIRARD est un mécanisme fondamental du comportement humain. Contrairement à l’imitation qui est intentionnelle, le mimétisme est instinctif donc non