Cet article présente un problème d’organisation international consacré à discuter le rôle des communautés épistémiques dans la coordination des politiques interétatiques. Haas soutient que des preneurs de décisions, de l’ère moderne, ont été confrontés à la complexité croissante des techniques et des incertitudes en adressant les problèmes politiques, et donc se sont appuyés de plus en plus sur des experts chevronnés. Un tel réseau d’experts peut créer une communauté épistémique dans laquelle les membres partagent les connaissances techniques liés à un domaine particulier ainsi que les principes normatifs, les croyances de causalité, et une conception partagée des intérêts. En raison de leur prétention à l’expertise, ces communautés épistémiques peuvent répandre les normes et les valeurs ainsi que des connaissances techniques pour par la suite influencer des résultats politiques.

L’auteur présente des explications concurrentielles pour le comportement national, y compris le conditionnement par de facteurs systémiques, des facteurs au niveau des unités, ainsi que des interactions entre les deux et soulève la question de savoir si les États prônent les valeurs non-artificielles. Haas admet que des conditions systémiques et des pressions internes imposent des contraintes sur le comportement des États, mais fait valoir que les États ont une grande latitude dans le choix des actions. Or, les choix des États est influencé par la façon dont ils définissent leurs intérêts, comment les problèmes sont encadrées et quelles alternatives sont présentées. L’auteur propose des mécanismes par lesquels les communautés épistémiques influencent ce processus, argumentant que les communautés d’autorités d’experts contrôlent et dirigent l’information pour les preneurs de décision et peuvent ainsi favoriser de nouveaux modes de comportement de l’État.

Vu qu’Haas ne fait qu’introduire d’autres articles, il n’offre pas de preuves détaillées ou de tests empiriques dans son article.