essai

918 mots 4 pages
Être, paraître, sembler, devenir, rester, passer pour, avoir l’air ; Bien des verbes différents, mais qui définissent si bien la vie, la vie en société plus particulièrement, ce qui m’amène à me demander : sommes-nous réellement faits pour vivre en société ? Lorsque je parle de vie en société, je pense aux relations qu’on entretient avec les autres au quotidien. Je ne parle pas au sens des lois ! La vie en société qui touche chacun d’entre nous, volontairement ou pas. La vie en société lorsqu’on est à l’épicerie, lorsqu’on croise une connaissance dans la rue, dans l’autobus de ville, les relations qu’on entretient avec notre famille.
En 2015, la technologie est plus que présente dans nos vies. Nous avons toujours notre cellulaire, d’ailleurs, plusieurs écoles au Québec veulent autoriser les cellulaires en classe à des fins pédagogiques1. Les vrais contacts avec les personnes qui sont à nos côtés sont de plus en plus rares. Peut-être est-ce notre façon de nous couper de cette vie en société ? J’ai l’impression qu’il n’est pas naturel à l’homme de vivre en société : «Nos manières d’appréhender chacun des enjeux auxquels nous sommes soumis sont complètement dénudées d’imagination, d’indépendance de pensée, de véritable liberté2.» J’ai une étrange impression que le fait d’entretenir des relations me demande un effort.
Il y a aussi les rapports que nous avons avec nos connaissances. J’ai l’impression que nous sommes incapables de nous montrer tels que nous sommes réellement. Nous avons devant les autres cette facette d’un Je qui ne nous représente pas, on veut montrer aux autres quelqu’un n’est pas conforme avec notre identité, nos valeurs, nos passions, etc. Nous avons ce besoin d’être (en présence des autres) quelqu’un que nous ne sommes pas. Nous avons cette double vie, parfois même plus, qui nous empêche d’avoir ce peu de liberté que d’assumer la personne qu’on est réellement. Il n’est pas facile de se connaître, mais d’assumer qui l'on est, encore moins. J’imagine

en relation

  • test
    8415 mots | 34 pages
  • test
    3390 mots | 14 pages
  • Analyse livre les grandes marées
    1243 mots | 5 pages
  • Teste
    5989 mots | 24 pages
  • Teste
    1462 mots | 6 pages
  • test
    1320 mots | 6 pages
  • essai
    267 mots | 2 pages
  • test
    2023 mots | 9 pages
  • teste
    464 mots | 2 pages
  • Teste
    2038 mots | 9 pages
  • Paulm
    378 mots | 2 pages
  • essai
    1760 mots | 8 pages
  • essai
    284 mots | 2 pages
  • test
    3827 mots | 16 pages
  • L'homme n'est-il que le produit de la société?
    455 mots | 2 pages