Est-il juste d'affirmer que la liberté à une notion positive dans lettres chinoises
D’abord, Yuan dans sa lettre à Sassa fait part du caractère que prend la liberté en rapport avec le travail. Lors de sa conversation avec son camarade, Yuan découvre que l’homme est lié à son travail, même s’il est libre d’agir à sa guise. Ainsi il dit : «Cependant, il est libre d’être en retard et même d’être absent. Il ne sera pas grondé pour cela. Il est de plus libre d’abandonner son patron en se trouvant un autre emploi.» (L.79 à L.82). Par là, on voit que contrairement à la Chine où l’engagement à une valeur significative, qu’ici, au Québec, l’homme est libre de ses obligations. Il peut être en retard, il peut s’absenter, il est tout simplement libre de décider de ses choix. Seulement, il doit assumer les conséquences de ses actes. Cette phrase : « Il est de plus libre d’abandonner son patron en se trouvant un autre emploi.» évoque le rêve américain là où «tout est possible» alors qu’en Chine, tout citoyen doit avoir le sens du devoir et de l’effort. Alors, tout québécois à le choix de quitter son emploi quand il le veut et comme il le veut sans devoir rien que ce soit à qui que ce soit étant donné que les québécois sont des individualistes, et qu’ils vivent en fonction de soi et non en fonction de la communauté. Les chinois quant-à-eux vivent selon la société en regard des