1) La capacité de tous les hommes d'être une menace pour chacun les rend égaux. Or leur plus puissant désir est de se conserver. Il faut donc sortir de l'état de nature pour satisfaire la passion fondamentale de cette même nature car chaque homme, peu importe le gabarit ne voit pas pourquoi il ne pourrait pas avoir ce qu'un autre homme pourrait avoir. Ainsi, étant donné qu'ils sont égaux, ils sont une menace les uns envers les autres car ils utiliseront la violence pour détenir ce qu'ils veulent : …afficher plus de contenu…

Il est bon car il n'a pas encore été corrompu par la civilisation. Ainsi, même s'il n'est ni bon ni mauvais au sens du vice et de la vertu, Rousseau donne un trait moral à l'homme à l'état de nature car il détient une compassion naturelle, il éprouve de la pitié face à ses semblables. Le reproche est là, c'est que contrairement à Rousseau qui pense que l'homme n'est ni bon ni mauvais mais penche plus vers le bon de par la pitié qu'il ressent envers autrui, Hobbes lui dit que l'homme est violent à l'état de nature, qu'il ne ressent aucune pitié.5) La multiplicité des passions est l'ouvrage de la société car si la vie continue comme l'a démontré Hobbes, ce serait …afficher plus de contenu…

» l'idée que l'homme est un prédateur et que tous les autres sont des proies à ses yeux.6) La pitié est un sentiment qui rend sensible aux souffrances d'autrui, c'est un sentiment naturel pour Rousseau et ça l'est car si nous savons ce que cela fait de souffrir, on ne le ferait pas à l'autre car on connait ce sentiment. Par connaissance de la souffrance qu'un acte pourrait produire, nous pouvons ressentir de la pitié envers autrui.7) Les causes sociales de la violence se renouvellent car plus nous avançons dans le temps, plus de choses existent et il y a des causes pour laquelle des personnes se battent, avec des mots ou avec des