Est-il vrai d’affirmer que, dans le nomadisme dans le nomad
La seule chose qui pourrait la rendre joyeuse serait de partir avec le Survenant. Troisièmement, le survenant exprime de la joie à chaque fois qu’il parle de la route. Le narrateur externe, une fois de plus, nous révèle les sentiments de ce personnage. « Les mots titubaient sur les lèvres. Il était ivre, ivre de distance, ivre de départ. Une fois de plus, l’inlassable pèlerin voyait rutiler dans la coupe d’or le vin illusoire de la route, des grands espaces, des horizons des lointains inconnus. » (p.187) La métaphore entre la « route », les « grands espaces » et le « vin » met en relief la joie du …afficher plus de contenu…
Sous argument 1.1 : Les personnages qui représentent l’inconnu (Le survenant et l’Acayenne) rendent Didace joyeux. Sous argument 1.2 : N’ayant pas eu la chance de suivre le survenant sur sa route, Angélina est remplie de chagrin.Sous argument 1.3 : Pour le Survenant, sa joie réside dans ses voyages.Paragraphe 2Argument 2 : À plusieurs occasions dans l’histoire, le Survenant décrit des endroits qui représentent le nomadisme d’une manière joyeuse. Sous argument 2.1 : Sorel est un endroit pour boire et faire la fête. Sous argument 2.2 : Le port, une infrastructure qui permet aux navires de naviguer est décrite comme une personne aimée.Sous argument 2.3 : Le cirque, un endroit qui ont des animaux venant des autres continents, est l’une des activités à Sorel qui excite le