etre libre
Le Parfum, Histoire d’un meurtrier
1°)Tout d’abord, ce qui me repousse chez le protagoniste c’est le fait que pour pouvoir faire se qu’il fait de mieux, reconnaitre les odeurs et créer des parfums, Jean-Baptiste Grenouille est obligé de sacrifier la vie de plusieurs personnes. Au total, il assassine vingt-six filles vierges afin de s’approprier leurs odeurs et de pouvoir en faire de nouveaux mélanges pour créer des parfums. Il a pour but d’élaborer le « parfum parfait ». Mais pour cela il doit passer par la violence extrême (la mort). Il veut devenir un Dieu en créant se « parfum parfait ». Ceci montre bien que pour arriver en haut de l’échelle on est obligé de commettre des actes terribles et souvent très regrettables. Ici les actes de Jean-Baptiste Grenouille sont même impardonnables et méritent une grande sanction. Donc, je n’ai pas trop aimé le fait de devoir employer la violence pour arriver à ses fins.
En revanche, ce qui me fascine chez Jean-Baptiste Grenouille c’est qu’il est né dans des conditions horribles et qu’il a survécu. Cette enfant n’aurait pas du vivre mais il est né pour élaborer le « parfum parfait » et on voit tout au long du livre qu’il ne peut pas mourir sans avoir mis au point ce parfum. Il survit à plusieurs événements qui auraient dû l’achever. Par exemple, lorsqu’il était à l’orphelinat de Madame Gaillard, les autres enfants essayent ne l’étouffer mais Jean-Baptiste Grenouille ne meurt pas, même s’il se réveille le lendemain matin tout bleu. Puis, lorsqu’il travaille chez le maitre tanneur Grimal, il est atteint de la splénite (inflammation de la rate) à laquelle il survit alors que c’est une maladie qui ne laisse normalement personne vivant. Il consacre sa vie à la création du « parfum parfait » et il arrive à le mettre au point même avec tout les obstacles qui ont puent essayer de lui barrer le chemin de la réussite. J’ai donc bien aimé chez Jean-Baptiste Grenouille son caractère « surnaturel » et le fait qu’il est