Etude des dynamiques sociaux-spaciales
Le territoire photographié est un espace rural, il est mis en valeur pour la fonction de zone d'habitation hors de la ville. On remarque que l’extension du bâti se fait en s'étalant sur les zones encore libres, proche des principaux axes routiers et donc les réseaux de transport relient ces axes aux habitations en suivant les courbes et tracés créés par celles-ci. Bien que des habitations y ont vu le jour, l'espace rural est partiellement conservé, on remarque de grandes zones de verdures encore présentes sur la photographie, les maisons possèdent aussi chacune un jardin. Cet espace rural est conservé afin de mettre le pilier environnemental du développement durable : bien que sujet à l'urbanisation, les zones rurales conservent (partiellement) la nature présente. De plus ce type d'espace ne peut être associé au thème des fractures soci-spatiales car la zone photographié montre un quartier ~ une zone résidentielle avec des habitations quasiment toutes similaires, comportant un chacune un jardin, certaines ayant aussi une piscine par exemple. Cela montre donc que les habitants font donc parti de la classe moyenne / moyenne supérieur, qui, profitant de l'argent qu'ils gagnent partent de la ville pour s'acheter une maison avec plus d'espace, pour moins cher, avec un jardin, … Les habitants de ce quartier sont donc tous du même milieu social et rien ne les « mélange » aux autres classes sociales dans cet espace. Cet espace qui paraît relativement récent est donc le résultat de l'étalement urbain sur l'espace rural. Il a donc nécessité la construction de réseaux de transports reliant les axes routiers à proximité aux habitations qui ont elles aussi été construite par la même occasion, « grignotant » l'espace naturel et polluant lors notamment lors des chantiers (avec les engins qui utilisent du pétrole par exemple) puis après avec le fait des migrations pendulaires qui nécessitent donc l'utilisation de voitures pour rejoindre la ville par exemple ce qui