Etude lineaire 12, phèdre, acte iv, scène 6
Cette œuvre se considère comme l'œuvre-clé et l'apogée de Racine car elle représente toutes les caractéristiques du tragique racinien. Présentation et situation de l’extraitOenone, à la fin de l'acte I, a influencé Phèdre de telle sorte qu'elle lui a fait entrevoir qu'elle pouvait aimer Hippolyte, Thésée étant mort. Or, on apprend à la fin de l'acte II que Thésée est vivant. Phèdre, qui a avoué son amour à Hippolyte, redoute donc de paraître devant son mari. Devant se justifier devant son père, Hippolyte, injustement accusé et innocent, rappelle son « inflexible rigueur » à l'amour et avoue en même temps qu'il aime profondément Aricie. C'est alors que Thésée, se sentant outragé, condamne son fils à subir la …afficher plus de contenu…
Elle pense perde la raison- L.10 à L.11 Fait horreur à elle-même ; Multiplication des exclamations. Opposition « vivant/brûle ». Mise en évidence du pronom perso « moi » → c’est elle même et elle seule qui est coupable Dévalorisation de soi, jugement ; Répétition « et » = elle s’accable de la responsabilité de son crime- L.6 à L.7 Phèdre atteint à la démesure tragique. Métaphore, image de la folie elle s’effraie de ce qu’elle peut dire. Même son souffle est infecté par un double crimePhèdre atteint un seuil paroxystique dans le crime- L.6 à L.4 Sa vengeance atteint son pt culminant, elle veut punir une « innocente » ;Hyperbole = degré d’horreur qui dépasse tt ce qu’on peut imaginer. Lexique du crime. Personnification des mains devenues coupables.TRANSITION Phèdre inspire à la fois la terreur et la