DEGARDIN REDIGER UN AXE DE COMMENTAIRE 1ES4
DYLAN

Une morale implicite, mais préparée dans tout le récit.

Dans ce paragraphe nous allons étudié la morale implicitement préparée dans ce récit puis nous finirons par analyser la teneur de la leçon du récit,ou plus tôt de la fable.

Dans cette fable nous apercevons un rapport avec les animaux originale puisque nous constatons effectivement qu'il y a une humanisation des animaux, comme dans le vers dix ou on a la loup qui « aborde » le chien « humblement », et qui s'exprime dans un langage soutenu (v.12-13) «embonpoint qu'il admire»,«Il ne tiendra qu'à vous beau sire,». Malgré cette humanisation qui lie les deux canides entre elles, nous apercevons un contraste entre les animaux rien qu'avec les deux descriptions qui nous apprennent qu'ils sont physiquement différents; D'abord, pour le chien qui nous est représenté tel une personne propre et soigné, (v.3) «Un Dogue aussi puissant que beau» ou encore (v.4) «Gras, poli,» puis en revanche nous avons le Loup qui nous est représenté d'une manière repoussante et inspirant de la pitié , (v.1) «Le Loup n'avait que les os et la peau,» ou encore (v.17) «Cancres,haires, et pauvres diables». Mais une alternative est ici proposée au Loup (v.21) «Suivez-moi vous aurez un bien meilleur destin.» qui permettrait de le rendre aussi gras et poli que le chien , mais le loup lorsqu’il s'aperçoit du coup pelé du chien rebrousse chemin même si le fait de vivre confortablement ( avec la nourriture en profusion) est tentant il préfère resté liberté qui est ici préciser par le verbe courir (v.36) «Vous ne courez donc pas». A travers cette fable nous constatons clairement dans lequel des deux ''camps'' le fabuliste se positionne grâce au sentiments d'attendrissement de pitié pour le Loup , comme encore une fois (v.1) «Un Loup n'avait que les os et la peau» mais encore (v.13-18) ou ici La Fontaine nous décrit un Loup anéanti et