Faire rire quelqu’un c’est générer une formidable complicité. quand quelqu’un me fait rire je prends ça comme un cadeau.
Olivier de Kersauson affirme que « faire rire quelqu’un c’est générer une formidable complicité. Quand quelqu’un me fait rire je prends ça comme un cadeau. » Vous donnerez votre point de vue sur cette affirmation dans un développement argumenter à l’appuis d’exemples.
Première question à ce poser : le thème du sujet personnel.
Ici, la fonction sociale.
La thèse de l’auteur : le rire est une forme de complicité, de générosité.
Argument en faveur : * Dans les pièces de Molière, le rire rapproche les personnages ; dans le bourgeois gentil homme notamment. Une complicité s’instaure entre la servante, Nicole et Mr Jourdain. * L’exemple d’un spectacle, on va à un spectacle d’humoriste à plusieurs et non seul * Lors des saturnales, inversion des rôles entre servant / Maitre
Argument contre : * Le rire est utiliser pour se moquer, pour attaquer les faiblesses: Flaubert * Le rire peut exclure par le manque d’intelligence et de connaissance *
Thèse ; le rire une forme de complicité et de générosité :
1.1 Le rire rassemble dans la complicité même entre génération: Abecassis, Tout spectacle public fondé sur le rire ; théâtre, cirque clown, 1.2 Le rire comme ciment de cohésion sociale
Minois, Le rire divin et le rire antique, Lipovetzki 1.3 Le rire c’est un moment partagé d’une libération (frustration d’un tabous ou d’un sujet délicat de nature grivoise) 1.4 Le rire créé une complicité dans la séduction
Thèse ; Le rire est cependant un facteur de rupture social
2.1 Le rire se fait au détriment de celui dont on se moque
2.2 Exclusion de l’individu : ex Flaubert et Ridicule
2.3 Le rire nécessite une complicité intellectuelle (connivence) qui exclut si elle n’est pas perçut : Humour noir
2.4 Le rire est incompatible avec une certaine