Faites l' amour, pas des enfants
Insouciant et fier de l' être !
On faisait tout le temps la fête,
Comme dirais Pierre,
"Ni dieux ni maître"
On renier la religion, l' école et les institutions!
On jouer avec le coeur des filles,
Comme certain tape dasn un ballon. On avais de l' espoir plein le coeur,
Des bons amis, un bon dileur.
On avais pas encore besoin de se gaver d' antidépresseur.
On été comme des oiseaux dont la cage été la planète,
L' esprit comme pris dans un éteaux,
Avec des images plein la tête.
Toujours la mer a fleur de peau,
Un rien pouvais nous émouvoir. Au dernier rang de la classe,
Au moins de là on peut tout voir!
On suivais des mode à la con,
"En liberté dans une prison",
Quand la dictature de la mode a ris le pas sur la raison.
On allais dans des magasins,
Ou les vendeurs nous veulent du bien.
On portais des habits tisser,
Par des enfants qui ne mangent rien. Il faut de tout pour faire un monde,
C' est ce qu'ont m' as toujours expliquer.
Mais y a pas de place pour tout le monde,
Il vas falloir se raviser.
Les yeux river sur des idoles,
Qui nous vendent la vérité.
Où on consument notre existence,
Pour une cuisine, un canapé.
Sans réfléchir on se sent libre,
Mais on est seulement enfermer. On toucher de bout du doigt le bonheur.
Entre nos rire, entre nos pleurs,
Y avais de la place pour nos rires,
Y avais de la place pour nos peur !
Peut être qu'un jour on seras parents,
Mais Putain c' est pas demain la veille !
Plus sa tourne moins c' est carré,
Moi j' ai déjà commencer mon deuil. Quand il n' y as plus rien a espérer,
On trouve le refuge dans la crainte.
Quand il n' y as plus d' air a respirer,
Alors c' est clair que c' est la fin.
Dans un monde où un clown a le contrôle de la cuisine,
Je refuse de collaborer, je préfère fuir en Argentine.
On passe de play doh à Pleymo,
De playschool à Playboy. Aller me faire croire que toute les filles,
Ont dans leur sacs un sextoy !
Lis donc