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Faut-il préférer la liberté au bonheur

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Nos parents nous ont souvent répété «d'en profiter» pendant que nous soyons encore jeunes. Ils disaient ça pour plusieurs raisons mais, majoritairement parce que la jeunesse passe trop rapidement à côté de nous et plus tard, la «vraie» vie sera plus compliquée. Voulaient-ils dire que nous ne pourrons plus être heureux quand nous connaîtrons ce que c'est la vie en réalité? Que ça soit vrai ou non, il faut toujours profiter de la vie avant tout. S'il y a des différences entre le bonheur et la vérité, doit-on en préférer un plus que l'autre? La vérité nous dicte des faits, oui, elle nous informe, mais elle peut souvent déranger alors, le bonheur devrait-il être une priorité?

Le bonheur signifie être dans un état durable de totalité et de satisfaction, un état agréable et équilibré mentalement et physiquement, sans tourments ou d'angoisses. Nous devrions tous être heureux même, la quête du bonheur est universelle. Cela étant dit, chaque personne trouve son contentement dans différents sujets et chaque route pour y parvenir est différente. Il est très important pour un de posséder ce sentiment pour sa santé mentale. Sans bonheur il y a l'insatisfaction de soi-même, la dépression risque d'envahir ce qui enchaîne le suicide. De nombreuses études ont révélé quels sont les facteurs dans la vie qui sont en liaisons avec un plus grand bonheur. Il y a la satisfaction de désirs (corporels ou matériels), du devoir (l'accomplissement du bien), du vrai (les connaissances) et du beau (contemplation esthétique). Aussi, nous devons posséder le bonheur afin de grandir et d'évoluer car la volonté d'apprendre est bien fondée avec l'aide d’encouragements d'un entourage qui vous rend heureux. Comme par exemple, si vous êtes tentés par une profession plus difficile et vous savez que vous avez des gens derrière vous qui vous aime et vous aideront, les études pour y arriver pourraient être plus plaisantes même si cela vous paraît infaisable. Tandis que si vous n'avez pas de support et

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    Le bonheur est, couramment, assimilé à un état de satisfaction, un état de bien-être, de tranquillité. Nous sommes heureux lorsque nous pouvons profiter d’un bien acquis, être content sans avoir l’angoisse qu’on nous le retire, nous reposer sur la certitude que l’objet de notre désir nous appartient et qu’on ne pourra pas nous en priver. Mais peut-on alors réellement parler de bonheur, et surtout, de quel bonheur parle-t-on ? Car posséder ce que l’on désire aussitôt qu’on le désire, si souhaitable que cela paraisse, n’est-ce pas se condamner à toujours vouloir davantage, ou à toujours vouloir autre chose… et finalement à n’être jamais content ?….

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  • N’y a-t-il de bonheur que dans l’instant ?
    440 mots | 2 pages

    Intro : Le bonheur peut être défini comme un état de complète satisfaction où cette forte émotion est constante et unifiée. Il peut apparaitre subitement ou encore ne pas être là lorsque l’on le recherche à tout prix. En effet le cours de la vie d’un individu peut parfois être nonchalant, en revanche, dans certains cas on peut atteindre le bonheur involontairement ou encore l’avoir sans le demander comme avoir un enfant par exemple.….

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  • Que nous vaut le bonheur ?
    1175 mots | 5 pages

    Il semble alors ne rien manquer à celui qui connaît le bonheur, c'est-à-dire à celui qui est heureux. | Bonheur, comme heureux, vient de heur, rare car c’est du vieux français qui désigne "la bonne fortune", "la chance". On ne trouve plus guère ce terme heur que dans l'expression avoir l'heur de plaire….

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  • Le bonheur consiste t'il à vivre une vie simple ?
    516 mots | 3 pages

    La notion de bonheur se définit comme un état de satisfaction plein et entier dans lequel tout manque serait absent. Le bonheur semble donc, en première approximation, pouvoir être compris comme la réalisation de tous les désirs. Il se distingue néanmoins du plaisir qui reste ponctuel alors que le premier doit être considéré comme un état durable et inaltérable. On remarque, en outre, que le bonheur est une notion relative c’est-à-dire que les modalités de sa réalisation varient d’un individu à l’autre.….

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  • Avoir tout pour être heureux
    476 mots | 2 pages

    Avoir tout pour être heureux semble effectivement être le meilleur moyen d'accéder au bonheur. Il suffit certainement de pouvoir déterminer quels sont ces petits tout que nous désirons pour savoir à quoi tient notre propre réalisation du bonheur. Et, également, il n'est pas inintéressant de se demander en quoi consiste le fait d'être heureux pour chacun d'entre nous. Personnellement, je pense que le véritable bonheur n'a pas de limite. Parce que durant toute notre vie nous avons des besoins qui ne peuvent être comblés que temporairement (comme le besoin d'apaiser sa faim, ou sa soif, qui n'est satisfait que pour quelques heures tout au plus), il faudra nous y reprendre éternellement pour ne pas nous trouver "malheureux" ou en manque de bonheur.….

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  • Dissertation : dépend il de nous d'être heureux ?
    1492 mots | 6 pages

    Le Bonheur : un sentiment personnel engendré et choisi en premier lieu par nous même Dans un premier temps, il est vrai que la recherche du bonheur parait universelle : un individu ne chercherait pas à être malheureux. Mais c’est dans sa définition qu’on se rend compte qu’elle relève finalement de chacun : la vision du bonheur peut être différente, ses caractéristiques ne sont pas les même suivant chaque individu : c’est un état personnel engendré en tout premier lieu par nous. 1) CONSCIENCE DE SES ETATS GENERAUX, CONNAISSANCE DE SOI PERMET LE BONHEUR : Pour savoir ce qu’est le bonheur, il faut être pleinement conscient de ses états généraux, et relativement à ceux là, se faire sa propre conception du Bonheur.….

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  • La raison ou les émotions
    769 mots | 4 pages

    Le bonheur est une satisfaction complète et élimine le stress, la souffrance, le trouble et l’inquiétude, tous des concepts qui nuisent à notre paix d'esprit. C'est cette paix d'esprit qui nous permet de faire de bons jugements et de bonnes décisions. Prendre une décision lors d'une période de vie difficile pourrait empirer la situation puisque nos pensées sont entremêlées et notre tête n'est pas sereine. C'est pourquoi les jugements que les politiciens portent devraient toujours se baser sur le bien-être de la population. La raison est souvent vue comme étant le meilleur choix.….

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  • Le bonheur est-il la satisfaction de tous nos désirs ?
    2152 mots | 9 pages

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  • Plaisir
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    Or le plaisir est l’aboutissement du désir. Peut-on sans se contredire parler d’un plaisir constant ? Pour Jankélévitch, la vie serait ennuyeuse si la perfection qu’on atteint parfois pouvait durer. Un bonheur trop heureux, nous dit-il, se renverserait. Il se renverserait parce qu’il tournerait à l’ennui et au radotage.….

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  • La vie de merde
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    Veut-il beaucoup de connaissances et de lumières ? Peut-être cela ne fera-t-il que lui donner un regard plus pénétrant pour lui représenter d'une manière d'autant plus terrible les maux qui jusqu'à présent se dérobent encore à sa vue et qui sont pourtant inévitables, ou bien que charger de plus de besoins encore ses désirs qu'il a déjà bien assez de peine à satisfaire. Veut-il une longue vie ? Qui lui garantit que ce ne serait pas une longue souffrance ? Veut-il du moins la santé ?….

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  • Le bonheur est-il individuel?
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  • TermS 08 Faut il preferer le bonheur a la verite
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    Or l’une des difficultés de ce sujet est déjà de montrer pourquoi la question se pose. En quel sens, par exemple, la vérité serait-elle un obstacle au bonheur ? Qu’y-a-t-il de si douloureux dans la vérité pour qu’elle puisse ainsi mettre en péril ce que nous cherchons tous ? Inversement, ne pourrait-on pas au contraire montrer que le bonheur ne saurait exister sans la vérité ? C’est d’ailleurs cette question qui semble mettre en doute le bien-fondé de la question car nous ne comprenons pas immédiatement pourquoi la vérité empêcherait chacun d’être heureux.….

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  • Faut-il préférer le bonheur à la vérité ?
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    Le propos central du Gai Savoir consiste à mettre en évidence les mérites de l'illusion dans la survie de l'individu et de l'espèce : l'illusion console, protège, enthousiasme - bref, elle permet le bonheur, sans quoi nul n'accepterait de vivre. Nietzsche note ainsi, §278, que la perspective de la mort - seule certitude ici-bas - ne joue quasi aucun rôle dans notre vie quotidienne, et au contraire que "chacun veut être le premier dans [l']avenir". La vie, phénomène marginal dans l'univers, se présente comme un pur gaspillage d'énergie profondément désespérant ; mais l'Homme, lui, "est devenu un petit animal fantasque qui aura à remplir une condition d'existence de plus que tout autres animal : il faut qu['il] se figure savoir pourquoi il existe" (§1) - pourtant une telle "raison" (plus exactement un tel "motif") de bonheur, une telle justification de la vie, s'avère forcément illusoire parce que, en tant que processus biologique, la vie reste radicalement absurde, sans but ni sens. Mieux encore : la "science" et la "vérité" elles-mêmes participent à cette illusion profitable à la survie : Nietzsche montre, dans les §110-112 que la vérité au sens de proposition générale portant sur plusieurs objets similaires et confirmée par l'expérience (ainsi "tous les ours sont dangereux") procède toujours d'approximations très grossières et d'impressions erronnées elles-mêmes dictées par les….

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