Arias, Caractères de Jean de la Bruyère
"Il faut que mes peintures expliquent bien l'homme en generale puisqu'elles ressemblent a tant de particuliers". Publié en 1687, se moque des comptemporain et tente de faire changer les moeurs. Lecteurs reconnaissent des gens a travers les caractères. Arias est la vantardise, il est celui qui prend la parole. *La critique de la vantardise
· Arias: un personnage faux et pretentieux
J.D.B est un moraliste classique ( qui etudie les moeurs). Il croit a une vraie nature humaine qu'il ne faut pas trahir sous peine de tomber dans l'erreur ou dans le ridicule. Comme Molière avec Tartuffe 20 ans avant. A se dissimule derière des apparences trompeuses, il doit attirer notre méfiance, CL du faux semblant "mentir, persuader, paraitre". A suspect a cause de son omni-presence et antipathique avec ses verbes de paroles.
· La pretention ridiculisé
A nouvelle forme d'impolitesse, se placer au dessus des autres pour etre admirer. Il devient au contraire geneur, il coupe la parole (l.4). Il se met en colère contre son interupteur (L.10). Ligne 15 A vient d'être coupé par la personne qu'il pretendait etre le porte parole ce qui le ridiculise. Moralité implicite et sevère, A par la parole cherche a tromper et c'est pas la parole qui sera puni.
· L'universalité de ce portrait
Malgrè son prenom qui ouvre le texte. A n'est pas inspiré d'une seule personne. Incarnation d'un defaut commun, mis en garde lecteur car peut porter ce defaut. Avec adj "universel" au 1er degre positif mais au 2 pejoratif car nous renvoi a la pretention du perso'. JB refuse d'inscrire le texte dans le temps, interlocuteur anonyme. A lui même na pas d'identité. C'est un personnage creut qui existe qu'a travers le discour outrancié et la situation comique. *Le respect des principes classiques: clarté, mesure et concision
· La clarté classique
Point de vue omniscient d'un juge impitoyable de la nature humaine.L'interet de cette focalisation est de rendre