Fiche de lecture sur la dissonance
Il est l’auteur de la théorie de la dissonance cognitive (a theory of cognitive dissonance, 1957), par laquelle il tente d’expliquer comment l’être humain gère les tensions engendrées par des éléments incompatibles. Elliot ARONSON est un psychologue américain né en 1932, qui lui aussi s’intéresse à la théorie de la dissonance.
F. MUFRAGI, éducateur spécialisé, diplômé en ingénierie d’évaluation, créateur et directeur de structures de formation et d’insertion sociale. Il nous présente, « éveil et réduction de la dissonance dans des contextes sociaux » de FESTINGUER et D’ARONSON préalablement présenté plus haut.
FESTINGER propose en 1957 la théorie qui permet de comprendre comment l'individu perçoit et gère une inconsistance entre deux cognitions : la « dissonance cognitive. Considérée comme l'une des plus puissantes théories en psychologie sociale, voire la plus « excitante » (Aronson, 1997), elle est aussi l’une des plus étudiées (Garnefeld, 2009).
L’unité de base de la théorie de la dissonance cognitive est la cognition. Elle est définie comme tout ce qui peut devenir l’objet de connaissance chez l'individu pour construire sa réalité : connaissance, opinion, valeur, attitude, croyance, sentiment, à propos de soi et de son comportement, d’une autre personne ou d’un groupe, ou bien encore des éléments de l’environnement.
Selon la théorie de la dissonance, la présence simultanée d’éléments contradictoires dans la pensée de l’individu entraîne chez l’individu un état de tension psychologique désagréable. C’est ainsi que la théorie de la dissonance permet de prévoir un grand nombre de comportements humains, comment ? En faisant des analyses d’expériences.
Dans cet ouvrage, l’étude a été faite sur quelques données de faits récents. Ces dissonances peuvent avoir deux sources :
- L’action de l’individu seul, comme le démontre le document, en proposant des exemples