La princesse de Clèves
« Elle passa tout le jour des fiançailles chez elle... »

Introduction
Cette extrait de La princesse de Clèves écrit par Madame de Lafayette en 1678, durant le courant classique est l'une des scène les plus célèbre du romain, puisque c'est la première rencontre entre la princesse de Clèves et le Duc de Nemours.

Analyse Parallélisme: « Il était difficile de n'être pas surprise de le voir » (ligne 9) Point de vue de la Princesse // « Mais il était difficile aussi de voir Mme de Clèves pour la première fois sans avoir un grand étonnement » (ligne 12) Point de vue du Duc. Formule impersonnel pour exprimer l'étonnement et la surprise de l'héroïne: « Il était difficile de n'être pas surprise de le voir » (ligne 9). La princesse nie connaître le Duc de Nemours: « Je vous assure […] que je ne devine pas si bien que vous pensez » ligne 28. La Cour toute entière perçoit le l'attirance couple:« Il s'éleva dans la salle un murmure de louanges » ligne 16.« Je crois […] qu'elle le sait aussi bien que vous savez le sien » ligne 26.« Il crut qu'elle avait été touché de la vue de ce prince » ligne 40.« La même pensée qu'avait eue le chevalier de Guise » ligne 47. > Seule la princesse de Clèves nie l'attirance qu'elle a pour le Duc de Nemours. Ce n'est que plus tard que la Princesse prend conscience de l'intérêt qu'elle porte au Duc, à la suite d'un sentiment de jalousie (lettre du Vidame) et c'est à partir de ce moment là que les introspections (analyse du sujet par lui même) se multiplient dans le roman. Le Roi, Henri second, joue le rôle du messager du destin, puisque c'est lui qui ordonne à la princesse « de prendre celui qui arrivait » (ligne 7). Le terme « Quelque chose de singulier » (l.18) souligne une situation exceptionnel. La fatalité a voulu que le Duc soit absent de la Cour au moment où Mlle de Chartres y paraît, et l'idée de cette rencontre, fuit du destin, est souligné