Fiche - france belle époque
FR en retard industriellement, la croissance FR se nourrit au déb XX de l’apogée d’indus mûres et du dynamisme de nveaux secteurs. Performances restent inégales. Belle Epoque met en lum dualisme de structures éco dominées par petite prop et mutation lente d’une soc majo rurale.
I. Une dynamique originale : A. Croissance retrouvée : * Croissance moins vigoureuse que ses concurrents : après G-D, FR retrouve période croissance lente dès 1896, plus vigoureuse dès 1905 et moins forte que les autres euro et US : 4ème prod indus derrière ALL, GB et US. * Croissance portée par indus : taux accroissement de prod agric 1% mais celui de l’indus : 2,6%/an 1896-1913. Secteurs nveaux (auto, élec, aéronautique), ou anciens réanimés par dynamisme des nveaux (sidérurgie, chimie). Indus textile (41% pop indus) moins dynamique. * Croissance qui n’empêche pas déséquilibre du commerce exté : éco mal insérée ds échanges mdiaux (12% exports mdiales manufact). Ressources insuffisantes => import mat 1ère et une partie de son énergie + import biens manufacturiers. Forte épargne => puissance financ : 2ème export Kx qui dégage revenus considérables Paris = gd marché financ. Invt faibles ds empire colo. B. Conditions de la croissance : * Poids de la faiblesse démo : croissance démo atone (+3M 1870-1911) : malthusianisme. Crainte d’un morcellement de la prop, descendance moins nbreuse, mieux éduc, chute natalité : accroissement nat faible. Situation pèse sur croissance éco : étroitesse du marché national => travail féminin et main d’œuvre immigrée. * Nécessaire recours à immigration : 1906 : pop immigrée : 2,1% (It, Belges, Esp, Polonais) : immigration de travail + qqs immigrations slaves d’origine poli. * Formation inégalement adaptée aux besoins : hausse continue des dépenses de l’Etat en faveur instruction => recul illettrisme. Ingénieurs à origine de création