Perte d’auréole, Le spleen de paris Baudelaire
I/ une anecdote piquante
A/Le caractère énigmatique : Repères spatio-temporels imprécis, flous ; les deux personnages pas identifiable : ni nom, statut. Les seules informations délivrées provienne du dialogue aussi énigmatique :caractérisation indirecte, l’auteur doit deviner que c’est un ange déchu exilé ou banni du paradis par des périphrases faisant appels au images religieuses(buveur de.. ,Mangeur …).
Le statue du 2nd perso à définir : ange, mortel ?comment se sont-ils reconnus ? Certaines phrases indiquent un passé commun (références communes), ils s’apprécient.
B/la théâtralité des Persos
Langage soutenu, marques de politesse : interlocuteurs se vouvoient (« mon cher »). Impression de dialogue théâtralisé : jeu du système de questions réponses afin de délivrer infos avec naturel et rythme.
C/ Effets de surprises
Surprise exprimé par les interlocuteurs de se retrouver dans un lieu insolite, Intrusion du fantastique traitement d’un symbole religieux avec légèreté. Surprise de la chute : l’auréole coiffera un mauvais poète pour le bonheur de son ancien propriétaire.
II/ Burlesque et humour noir
A/Ton railleur et sarcastique : Le premier perso marque sa surprise de voir l’autre en ce lieu en utilisant le pronom « vous » et des exclamations : il joue la comédie, la surprise marquant le décalage de la situation et jouant sur les clichés. Le second use aussi de sarcasme et de clichés.
B/anges déchus qui prenne plaisir à satisfaire leurs vis : humour de cette image, qui joue sur le décalage entre ce qu’est censé être un ange et ce à quoi ils aspirent (actions basses livrer à la crapule…). Décalage de caractère entre lui et l’ange traditionnel, il est moqueur.
C/ le traitement burlesque des notions sacrées
Jeu sur l’abstrait et le concret (auréole=chapeau), insistance sur la boue, la fange= réalités terribles et répugnantes. Les notions spirituelles ou métaphysiques sont traitées de façon matérielle et