LEON WALRAS : 19ème siècle
Il est convaincu que la réforme sociale passe par celle de la propriété foncière et de l’impôt. Il veut réduire les inégalités dont sont victimes les travailles. Il pense que les propriétaires fonciers sont des parasites.
Il va rejeter l’idée des classiques : travail = valeur
Pour explique les vertus et l’équilibre du marché, il va recourir au mathématiques. Il essaye de donner un caractère plus scientifique de l’économie.
Il met en évidence la notion de libre concurrence pour montrer que le marché s’autorégule et atteint l’équilibre. Cette atteinte de l’équilibre se réfère à l’image du commissaire-priseur.
Il explique que l’équilibre s’obtient par tâtonnement ; donc par étapes successives. La consommation dépend du revenu : schématisation de la courbe d’offre et de la courbe de demande.
PARETO
Tous les individus sont au maximum de leur situation
MARSHALL
2 points : * Importance de la science * Importance de l’expérience
Marshall, c’est le marginaliste. Le marginalisme c’est s’intéresser à ce que rapporte, à ce que coûte l’utilisation d’une unité supplémentaire.
Marshall va observer que la notion d’équilibre Walrasien s’observe très rarement : L’équilibre s’obtient par la variation des quantités et non par la variation des prix.
Marshall va mettre en évidence la notion d’élasticité.
MARX
Le capitalisme est par nature dynamique. Au cœur du capitalisme, le principe de l’accumulation du capital qui nécessite que l’économie se mondialise. Il observe la mondialisation et la marchandisation : tout fini en marchandise.
Selon Marx, le capitalisme connaît des crises. L’accumulation du capital n’est pas toujours possible : donc crise.

3 types de crises :
- crise de surproduction : Elle apparaît lorsque les salaires sont inférieurs à la productivité du travail car la consommation est inférieur au volume qui est produit (excès de production)

-crise de rentabilité : Les entreprises vont réduire leur production et se