Fordisme
A. Formes traditionnelles
Les transformations qu’a connu l’organisation du travail de 1880 à aujourd’hui.
Vers 1800 on avait le développement des manufactures et des usines, Alain Touraine la nomme la :
Phase A, la machine se développe et au fur à mesure, elle déqualifie les ouvriers, en effet au début il faut être qualifié pour les utiliser mais rapidement des innovations apparaissent qui simplifie le fonctionnement des machines (voir RI et grandes innovations), les ouvriers n’ont plus besoin de compétences particulières. On peut donc faire travailler n’importe quoi les femmes les enfants, ce travail déstabilise les familles qui entraine, une mauvaise éducation... Décrit chez Zola. L’avantage avec les femmes et les enfants, c’est que ça fait baisser le cout du travail, de plus on augmente la taille de la population active, plus on les faits rentrer en concurrence et on fait baisser le salaire, globalement le w reste une variable d’ajustement. (Pour se faire de la tune)
Certains chefs d’entreprises tentent d’y remédier avec des cités universitaires comme à Clermont Ferrand avec Michelin ; le paternalisme vient lutter contre les effets négatifs de l’industrialisation. Il se développe dans la 2e moitié du 19e et a pour but d’améliorer la condition de travail sans pour autant augmenter le salaire, car beaucoup de privilège, logement, médecin…
Face à la misère sociale et mental il va y avoir un mouvement social qui se développe dans l’église à la fin du 19e « Rerum Novarum » (=Des choses nouvelles), le pape demande aux employeurs d’améliorer le sort des ouvriers, naissance du syndicalisme chrétien et du catholicisme social.
Phase B, c’est l’OST. Mécanisation marque la baisse de l’autonomie ouvrière ; les productions se mécanisent, la division du travail apparait et avec elle la place moindre du travailleur. C’est l’époque du fordisme et du taylorisme.
B. L’introduction du taylorisme
Taylor nait 1856 et meurt en 1915,