Fateyenkova Yulya
Galioto Giulia
2nde5 La marche des parisiennes Louis XVI, qui n’avait sanctionné ni l’abolition de la féodalité (nuit du 4 août 1789), ni la Déclaration des droits de l’homme et du citoyen le 26 août, envisagea le transfert de l’Assemblée constituante (assemblée national) en province et décida de faire un rappel des troupes a Versailles, où une délégation fut reçue par le roi. Louis XVI promit de reconnaitre l’abolition de la féodalité et la Déclaration des droits de l’homme et d’assurer un ravitaillement à Paris. Une foule, composée majoritairement de femmes, se dirigea de Paris à Versailles, officiellement pour réclamer du pain à sa majesté .Elle demandaient que les gardes du corps du roi soient remplacés par la Garde nationale commandée par La Fayette. L'Assemblée constituante en profite pour exiger la rectification des décrets en rapport avec la constitution et à la déclaration des droits de l’homme. Au fur et a mesure de ces journées le peuple exigea que le roi vienne à Paris. La nuit du 5 au 6 octobre tout paraissant calme à l'intérieur et autour du château, dirigés par des guides une troupe d'assassins étaient parvenus jusqu'au grand escalier de marbre qui conduisait aux appartements de la reine, Deux gardes du corps sont tués et la Reine se sauva dans l'appartement du roi mais la foule grossit et envahit le château, alors que La Fayette accouru à la tête de quelques
"La terrible nuit du 5 au 6 octobre 1789" - gravure du temps grenadiers de la garde nationale il réussit à repousser les agresseurs. Mais la foule rassemblée sous les fenêtres du roi, demanda à grands cris que la Reine paraisse et demandait au Roi de se rendre à Paris. Après avoir essayé de calmer les cris, La Fayette s'adresse à Marie-Antoinette et lui demande quelles sont ses intentions : « Je sais le sort qui m'attend,