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En effet le héros rencontre une jeune fille « Elle a passé, la jeune fille » v.1 ; ce fut comme un coup de foudre pour le héros, il la décrit comme un oiseau « vive et preste comme un oiseau » ainsi le héros dégage sont sentiment d’amour « C’est peut-être la seule au monde/ Dont le cœur au mien répondrait » v 5.6 .On devine un amour impossible par un contraste temporelle, la jeunesse et la vieillesse « ma nuit profonde » laisse deviner un esprit tourmenté et blaisé par le temps. Le héro évoque la nouveauté de cet être si jeune et si pur, si beau « une fleur qui brille ». De plus « A la bouche un refrain nouveau » v.4 insiste sur la nouveauté ; quelque chose de continue, d’infinie.
Ainsi le héros ressent un profond sentiment d’échec, de désespoir ; ceci est traduit par des pauses dans le texte « Mais, non, -- ma jeunesse est finie… » v.9 Il utilise des points de suspensions pour exprimer un soupir et ainsi marqué le regret mais aussi l’emploi du passé composé délimite l’action et le participe passé, ceci explique des actions finis « Elle a passé » v.1 et « doux rayon qui m’a lui ». Le héros s’évade vers un rêve au second quatrain ; il rêve de la jeune fille où il oubli sa condition présente. Ceci est marqué par un projet ambitieux « Peut-être » v.5 Le héro dit « Adieu » et ainsi il