fétishime
Table des matières
Le fétichisme : 1
I. Définition : 1
II. Historique du mot : 1
Du point du vu ethnologique 1
III. Le fétiche en tant que croyance et pratique religieuse : 1
IV. La pulsion sexuelle : 2
Définition : 2
V. Selon le marxisme 3
Définition : 3
Bibliographie 4
I. Définition :
Etymologie : de feitiço « artificiel » les évolutions de son sens montrent que l'idée de quelque chose de « fabriqué » a induit celle d'« artificiel », de « trafiqué » voire de « faux » ou lié à des manigances magiques comme le « sortilège »
(LAROUSSE, s.d.)
Ensemble des pratiques qui placent le fétiche au centre des croyances et des pratiques religieuses.
Respect scrupuleux, admiration sans réserve pour quelque chose, quelqu'un : Il pousse jusqu'au fétichisme le culte du règlement.
Déviation des pulsions sexuelles d'un sujet sur un objet érotique de substitution qui peut être aussi bien une partie déterminée du corps (cheveux, seins, fesses) qu'un objet (vêtement, chaussure).
Expression : Fétichisme de la marchandise, selon les marxistes, illusion qui fait apparaître la valeur d'échange des marchandises comme le résultat de leur rapport entre elles, alors qu'elle résulte d'un rapport des hommes entre eux.
II. Historique du mot :
Du point du vu ethnologique : le fétichisme est rattaché à l'adoration d'un objet pour la pratique religieuse ou mystique. Il a pour but de créée la superstition et la crainte sur des diverses objets. Comme des objets naturels, tels que les éléments, surtout le feu, les fleuves, les animaux, les arbres, les pierres mêmes ; ou d'êtres invisibles, génies bienfaisants ou malfaisants. Ainsi les grigris (Petit objet que l’on conserve par-devers soi pour écarter le mauvais sort ou les mauvais esprits) de l'Afrique centrale, les burkhans de la Sibérie, en font le parfait exemple. À l'inverse, David Hume considère le fétichisme comme partie prenante du polythéisme, et le connote plus ou moins comme un synonyme d'idolâtrie.
III. Le fétiche