INTRODUCTION : Un sac est un massacre, la destruction totale d’un village. Ce chapitre 28 est un épisode central de la guerre picrocholine, gargantua ayant terminé ses études vient secondé son père Grandgousier dans cet épisode de la guerre. Rabelais dénonce le fait que les éléments déclencheurs de la guerre sont ridicules et les conséquences eux-mêmes. Il dénonce ainsi l’absurdité de la guerre, ici elle est déclenchée à cause d’une simple histoire de fouace. Frère Jean des Entommeurs va tenter in extremis de défendre l’abbaye et deviendra le héro de la guerre. Ce texte est un récit de guerre, c ‘est le récit d’une bataille de la guerre picrocholine. Ce passage concerne la guerre, le meurtre, la mort, les blessures... ce récit est un récit que nous pouvons qualifier de fantaisiste. Ce texte est donc une parodie, c’est une dénonciation des horreur de la guerre et Rabelais veut montrer que la guerre c’est la négation même de la vie, de l’ordre, de la générosité, il cherche à montrer l’inutilité fondamentale de toutes les guerre.
I. Parodie d’un récit épique
II. Dénonciation des horreurs de la guerre et la remise en question de la légitimité de toutes guerre.
COMMENTAIRE :
I. Le roman Gargantua est en lui même une parodie de récit de chevalerie. Il est donc normal qu’il y est dans ce livre une parodie de récit épique. La parodie a pour but de faire rire, on va tourner en dérision des choses sérieuses, la parodie est un genre littéraire on tournent en ridicule un sujet sérieux. Nous sommes ici dans un texte archétypal de la parodie. C’est donc une parodie de récit épique. Une épopée est constitué d’une succession d’étapes, Rabelais se rattache aux chansons de gestes du Moyen-Âge, nous avons une référence dans le dernier paragraphe aux pratiques médiévale c’est la chanson de geste des 4 fils Aymon qu’il cite afin de la tourner en dérision. Le héro conserve une supériorité dans la mort. Le héro ici est frère Jean qui se bat seul contre tout le monde, une