Gaz de schiste
Depuis très longtemps nous exploitons les ressources que la nature nous offre. Il est facile de constater qu’avec l’avancement de la technologie et les nombreuses naissance, q’il est primordial de produire beaucoup d’énergie. Cependant, il a des sortes d’énergies plus à risque de contamination environnementale. Au Etats-Unis, le gouvernement a laissé le contrôle du gaz de schiste aux compagnies d’exploitation. En Pennsylvanie un e catastrophe a contaminé les eaux, ce qui mettent plusieurs autre pays perplexe au sujet de l’exploitation de se gaz. Il y a cependant plusieurs politique qui empêche les citoyens de ce battre contre notamment en France et au Québec.
Au Etats-Unis, la production de gaz de schiste est en pleine croissance. Barack Obama a fait du gaz naturel le mentor de sa politique énergétique. Cette politique vise à réduire la dépendance du pays envers le pétrole et les émissions de dioxyde de carbone. Le gaz de schiste représente aujourd'hui 23 % de la production de gaz naturel aux Etats-Unis, alors qu’on le négligeait en 2004.
Au Québec, il y a depuis très longtemps la loi sur les mines qui a été adopté. Cette loi repose sur le principe du Free mining[1] qui signifie exploitation minière libre. Ce principe colonial importé directement des américains donne à l’entreprise privée un accès libre au patrimoine minier du Québec. Les compagnies exploratrices sont libres des contraintes sociales et environnementales et pratiquement libres de l’implication gouvernementale.
Elle permet aussi d’échapper, dans la grande majorité des cas, à l’examen du Bureau d’audiences publiques sur l’environnement (BAPE). À cela s’ajoute un abus tout aussi incroyable : la Loi sur les mines, que l’on peut qualifier de loi scélérate, bloque explicitement l’accès du public à toute information concernant les droits d’exploitation concédés à l’industrie minière. [2]
Pour pouvoir exploiter un emplacement, les compagnies minières doivent premièrement obtenir un