Genre migration et developpement
La migration résulte de la différence entre les pays en voie de développement et les pays développés. L’homme est toujours aspiré par le besoin d’amélioré sa condition de vie, c’est pourquoi on peut dire, que soit les hommes vont là où sont les richesses soit les richesses sont là où sont les hommes. C’est pour montrer que la migration est une expression qu’ont les hommes pour surmonter l’adversité ou pour mieux vivre.
Ces mouvements migratoires n’ont cessé de ce succéder et touche par essence l’ensemble des continents du monde. Nombreux auteurs dans leurs études, ont montré que la volonté et la compacité d’émigrer, d’aller vivre dans un endroit autre que son lieu d’origine, résulte à la fois de la responsabilité individuelle et collective des personnes mais aussi de situation économique du candidat migrant.
Longtemps, la migration africaine était au cœur de ce phénomène. Ces derniers étaient déportés par la colonisation ou par la traite négrière pour participer au peuplement dans certaines zones. Entre autres facteurs ont favorisé la migration africaine, car l’Afrique a été aussi menacé par la désertification, caractérisée par la dégradation des pâturages la diminution de la fertilité des sols, la détérioration des conditions climatiques liées à la sècheresse persistante. A ces nombreuses difficultés viennent s’ajouter les politiques d’ajustement structurel (PAS), loin d’amélioré la situation qui menace les populations sujette à une paupérisation progressive. Au Sénégal, la migration remonte à une date très lointaine dans l’histoire. Cheikh Omar BA 1996 dans sa thèse montre qu’au Sénégal, la migration a commencé dans la moyenne vallée du fleuve. Les Toucouleurs étaient les premiers à emprunter le chemin de la migration. Ils partaient pour propager l’islam. Au moment où ils partaient pour d’autres fins, leur migration était d’abord temporaire « navètane » et « norane » avant d’être régionale ou internationale Cependant,