Gestion risques naturels
Ce type de risque pourrait augmenter à cause des modifications climatiques, mais aussi de la démographie et de l’expansion de l’humanité et de ses constructions dans des zones où le risque d’exposition est plus grand. Certains gouvernements, ainsi que les assureurs et réassureurs cherchent à encourager l’application des principes de prévention et de précaution. Des conséquences nouvelles sont envisagées, par exemple lors des canicules, qui semblent devoir devenir des causes importantes de surmortalité.
Gestion du risque naturel[modifier]
Elle relève de la gestion de crise, c'est-à-dire à la fois des individus et des États et collectivités. L’indemnisation des victimes de catastrophes naturelles, les aides psychologiques et les systèmes assurantiels font partie des outils de gestion (et éventuellement de prévention de nouvelle crise).
Prévention[modifier]
La prévention passe par la formation, l'information de tous les acteurs concernés, par la planification et l’aménagement du territoire, par les règlements d'urbanismes, mais aussi par des exercices de préparation à une catastrophe et l'étude de leurs retours d'expérience.
Elle s'appuie sur des études rétrospectives (occurrence de risques et dangers dans le passé), sur l'analyse des retours d'expériences, la survenance et cartographie des aléas et la recherche en matière de cyndinique et prévention des risques naturels majeurs.
C'est généralement l'État qui est chargé du « porté à connaissance », et donc de l’évaluation prospective des risques et de sa mise à jour (via par exemple des études et cartes de risques et de dangers pouvant se traduire en une cartographie réglementaire) et divers moyens, notamment réglementaires, de réduction du risque.
On peut effectivement dire que la prévention passe tout d'abord par : l'information préventive. À noter que la loi demande à ce que la population soit informée. Cela passe tout d'abord par l'éducation à l'environnement (lié aux