Gouvernance mondial
Depuis son existence, le G7 est critiqué car ce système est incapable de réguler les conflits et crises générés au sein de la planète. Ou encore, en 2001 des forums altermondialistes au Pakistan donnent naissance à des manifestations où il est déclaré dans ces mouvements qu’ils sont contre les institutions financières, internationales ou encore commerciales car celles-ci ne réduiraient pas les écarts de développement et n’avantagerait pas le confort et la prospérité des populations et régulent la mondialisation de manière inégale. En effet, la gouvernance mondiale se traduit par un ensemble de régulation qui est la mise en place des moyens permettant de mieux contrôler la mondialisation, ayant pour objectif de limiter le caractère inégalitaire de la mondialisation effectués par des institutions et organisations internationales. Mais ces institutions et organisations internationales ne parviennent pas toujours à réguler la mondialisation et ne suffisent pas pour réduire les inégalités. Il y a donc des limites à cette gouvernance mondiale qui n’est pas assez efficace pour réguler la mondialisation qui s’accompagne de fortes inégalités qui ne cessent de s’accroître à l’échelle mondiale entre les pays riches et les pays pauvres. Mais quels sont les caractéristiques de cette gouvernance mondiale ?
Dans un premier temps, nous présenterons un acteur à vocation globale moyennement efficace qui est le système onusien, son origine et son fonctionnement, son rôle dans la mondialisation ainsi que son incapacité à réguler la mondialisation. Puis, dans un deuxième temps, nous verrons que la gouvernance économique est trop libérale, que les différentes organisations régionales et internationales à vocation commerciale jouent un rôle important dans la mondialisation mais que cette économie trop libérale est contestée puisqu’elle entraîne des processus inégalitaires à l’échelle mondiale. Enfin, dans un troisième temps, nous verrons