La gouvernance mondiale

Travail de recherche présenté à
Madame Valérie Brasseur

par
Anthony Thi, Ralph Kong et Miguel Correia­Deslauriers
Groupe 55

Collège Notre­Dame­de­Lourdes
Le 16 avril 2015

La domination, c’est non!

Introduction Nous sommes défavorable à une gouvernance mondiale. Selon nous, l’idée qu’une politique mondiale unique à travers la planète est une idée dangereuse et, dans les paragraphes qui suivront, on va vous en montrer plus de détails en abordant les aspects tels que les pouvoirs qui seraient attribués aux différents pays, les institutions proposées, les apports négatifs et les lacunes de l’ONU, seule organisation actuelle incluant tous les pays du monde.

La collectivité avant tout Nous croyons qu’il est faux de prétendre que seul un pouvoir mondial est en mesure de trouver des réponses à des problématiques de dimension planétaire telles que le terrorisme ou la pollution, car si une gouvernance mondiale s’installe, celle­ci aura beaucoup trop de pouvoir et cela pourrait avoir un risque d’échappement de contrôle et à la responsabilité démocratique. Le gouvernement qui contrôle tout pourrait en perdre le contrôle à cause d’un excès de pouvoir ou bien utiliser son immense pouvoir de façon antidémocratique et corrompu envers la population dépendante. Au contraire, c’est en coopérant, en passant des accords, en s’engageant à poursuivre des objectifs communs, que les pays peuvent agir efficacement contre ce type d’enjeux à dimension mondiale. Depuis plusieurs générations, les nations ont su réagir ensemble: face au terrorisme international depuis plusieurs années déjà, face aux épidémies, essayer de trouver des solutions vis­à­vis le réchauffement climatique et plein d’autres problématiques de cette ampleur. Alors, pourquoi arrêter cette fraternitée entre pays?

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Effets négatifs d’un gouvernement mondial Nous