Guillaume apollinaire
Il s'essaie a l'écriture dès la 6 ème. En 1896 il écrit des poèmes sous le pseudonyme de Guillaume Macabre. En 1897 il échoue au baccalauréat mais ne se représente pas, il veut devenir journaliste . Il est de sensibilité anarchiste et s'affirme dreyfusard.
En 1899 il trouve son pseudonyme définitif : Guillaume Apollinaire.
En 1901, Apollinaire collabore à Tabarin, hebdomadaire satirique de Montmartre. Il publie ses trois premiers poèmes signés Wilhelm Kostrowiztky, dans la revue La Grande France. Puis il est engagé comme précepteur par la famille de Milhau, il les accompagne en Rhénanie. La Rhénanie et l'Allemagne lui inspirent poèmes, contes et articles, dont il se servira de retour en France.
Il rentre en France en 1902, et à l'automne il commence à collaborer à l'hebdomadaire L'Européen. La Revue blanche publie des contes signés Guillaume Apollinaire.
En 1903, à une soirée de la revue La Plume, il rencontre André Salmon avec qui il fonde sa propre revue le Festin d'Esope. Il s'arrêtera en août 1904 après 9numéros. Il gagne sa vie comme employé de banque. En novembre, il ébauche ce qui deviendra « La Chanson du mal aimé », il l'a reprendra pour l'achever en 1905.
En janvier 1905, il rencontre Picasso et devient un hôte assidu du Bateau-Lavoir. Il y fait la connaissance de Max Jacob. Puis a la fin de l'année, quatre de ses poèmes paraissent dans Vers et prose, la revue de Paul Fort.
L'année 1906 est difficile pour Apollinaire, il peine à écrire. Mais en début 1907, il rédige Les onze mille Verges, qu'il publie sans nom d'auteur. Sa rencontre avec Marie Laurencin ouvre une période de renouveau créateur dont témoignent des poèmes comme «Le Brasier» et «Les Fiançailles». Il publie plusieurs contes, poèmes.
En 1908, il décide de vivre de sa plume : il passe un contrat avec La Bibliothèque des Curieux, il tient une chronique des romans à La Phalange et il fait