Il est évident que nous appartenons tous à une génération mais aussi que nous attendons d'elle qu'elle nous porte et nous guide vers une destinée que nous souhaiterions vivre comme un partage. Alfred de MUSSET dans les « confessions d'un enfant du siècle paru en 1836 décrit l'amour sans limite du peuple pour l'empereur Napoléon 1er, Elisabeth GUIGOU nous invite à comprendre ce que fut la « Beat Generation » née après la seconde guerre mondiale et vecteur de la rébellion sociale et littéraire de cette époque, Anaïs FAVRE se penche sur le cas des jeunes Birmans appelés « Génération Z » dont la liberté est compromise par la junte au pouvoir. Enfin, un portrait montre Ernesto GUEVARA surnommé le « CHE », figure emblématique des années 50 et 60 pour la révolution qu'il a menée de front en Amérique latine. Comment peut-on définir une génération ? Où trouve-t-elle sa force ?

Rédaction de la première partie du plan (comment définit-on une génération ?)

Les génération ont un nom en général, cela leur permet d'acquérir une vraie identité. D'après MUSSET une génération est née de la guerre à l'époque de Napoléon, entre deux permissions du père soldat, ce sont des êtres qui n'ont connu que l'empereur et ont été élevés dans son sillage. Elisabeth GUIGOU parle de la « Beat Generation », une génération qui se révolte socialement et artistiquement après la seconde guerre mondiale. Anaïs FABRE explique que les jeunes birmans font partie de la « Génération Z », une génération qui suit celle de ses parents « la Génération 88 ». Le CHE en leader révolutionnaire fera naitre des générations de militants. Son portrait réalisé par Alberto DIAZ GUTIEREZ en 1960 est devenu quasi mythique. Les générations veulent changer le passé. Elisabeth GUIGOU parle de la société américaine traditionnelle, fondée sur un « matérialisme sans imagination » la « Beat Generation » ne veut plus de cela et va la transformer à sa manière. Anaïs FABRE parle de Sandra LWIN une jeune Birmane qui fait parie