Hannah arendt
Ce que veut montrer Hannah Arendt c'est que la croyance fondatrice correspond a la nécessite des individus d'y adhérer, ce n'est pas la teneur de ce qui est cru qui importe, c'est le fait d'y croire, c'est pourquoi les croyances sont interchangeables, il y a un certains nombre de communistes qui sont devenus nazis, aussi étrange que cela puisse paraître, ce sont des croyances opposées mais la n'est pas le point central, ce qui importe, c'est qu'elle donne un sens à l'existence de celui qui y croit, ici croire c'est adhérer totalement à ce que l'on croit car la croyance a une fonction compensatrice, c'est à ce niveau la que Hannah Arendt pourra employer la notion de banalité du mal, cela veut dire que, la banalité du mal, au terme de la seconde guerre mondiale, la maussade, avait pour but , comme priorité d’arrêter deux hommes, les deux nazis que les services secrets israélien voulais arrêter, Eichmann et Mengele, qui est un médecin allemand qui a entrepris à Auschwitz de pratiquer des expériences sur des êtres vivants, surtout sur des femmes juives en saintes. Mengele a passé sa vie à se cacher et il est mort accidentellement dans sa piscine. Eichmann a également fuit en Amérique latine, Eichmann c'est l'organisateur en chef de la solution finale, c'est lui qui constitue le premier maillon de l'extermination totale des juifs d'Europe. Eichmann a voulu vivre avec sa femme et ses enfants en Amérique latine, il était contremaître d'usine, c'est quelqu'un d'ordinaire, c'est le dirigeant du maussade lui même qui va se déplacer en Argentine pour le ramener en Israël afin d’être jugé. Le problème qui se pose c'est qu'Eichmann n'est pas un monstre et ce n'est pas un être singulier, quand il est arrête il dit : oui oui c'est moi mais ne me frappez pas, c'est un poltron, quand il est arrêté, les juifs qui sont la, qui témoignent en donnant leur numéro de matricule, car quand on était déporté on perdait son identité, on était