Henri Laborit, l'éloge de la fuite
Liberté utopique

Henri Laborit, né le 21 novembre 1914, est un médecin chirurgien et neurobiologiste. En même temps, M.Laborit ce concentre sur la philosophie de l'homme. Il écrit un livre: Éloge de la fuite ou il parle beaucoup de la liberté chez l'homme. Dans un extrait du texte, nous allons faire ressortir l'illusion de la liberté que l'homme ce fait. Ce problème va être exposé, premièrement, en mettant côte à côte notre conscience et notre inconscience. De plus, il démontre que la connaissance est un frein a la liberté. Ensuite, on remarque que le sentiment du groupe est fort chez l'homme ce qui lui enlève une certaine liberté et pour finir, la politique nuit à cette liberté.

Premièrement, la sensation fallacieuse de la liberté vient du fait que ce qui nous pousse à agir et que notre discours logique sont d'un domaine diffèrent. L'action des hommes porte sur l'inconscient et par contraste note pensée logique vient de notre conscient. En d'autre terme, comme être libre alors que la liberté vient ne notre discours logique et que ce qui nous pousse à agir nous est inconscient. Pour aller encore plus loin, il dit que nous ne pouvons pas croire en cet inconscient, car il est inconscient. Deuxièmement, « la liberté commence où finit la connaissance. » (J.Sauvan). En partant de cette citation, il affirme que l'homme n'est pas libre en réalité, car la connaissance n'arrête jamais. Plus que l'homme acquiert des connaissances, plus il atteint une indépendance relative. Cette indépendance n'est jamais toutefois complète, car la connaissance n'a pas de limite pour l'instant. Une fois la loi découverte, l'homme peut seulement utiliser celle-ci à son avantage, mais jamais se libérer de ceux-ci. Il est n’est donc jamais libre en ce qui concerne les lois physiques. Troisièmement, l'homme se sent libre de devenir ce que bon lui semble. Il croit avoir le contrôle sur son avenir, alors que dès sa naissance il cherche une