Histoire cambodge
En automne, Monireth gagne l'accord de renvoyer des autorités françaises.
Le 23 novembre il prend deux décisions au sujet de cette question :
a. La première étant de former le premier bataillon d'une armée cambodgienne naissante.
b. La seconde étant d'ouvrir une école de dirigeant-candidat
En 1946 : Deux accords importants entre Phnom Penh et Paris ont donné aux militaires cambodgiens une pose officielle plus ferme :
7 janvier : Le premier, le « modus vivendi » de Franco-Cambodgien.
20 novembre : Le deuxième accord, la convention militaire de Franco-Khmer.
En 1947 :
Le gouvernement du Cambodge a fait face à une menace de support de plusieurs milliers de combattants d'Issarak de Khmer. Les forces militaires cambodgiennes ont inexorablement augmenté pendant que les mois et les années passaient.
En janvier : la force efficace des militaires cambodgiens a tenu à environ 4.000 personnes, dont 3.000 ont servi dans la police municipale. Ces premières unités militaires cambodgiennes sont entrées dans l'action en 1947 à l'encontre le Khmer Issarak.
En 1948 et 1949 :
En 1948 : La force militaire totale s’élève à 6.000 personnes, dont la première moitié est dans la Garde Nationale et l’autre moitié dans la réservation mobile.
En juillet 1949 : Un accord militaire avec la France a lieu et l’autonomie à été accordée aux forces cambodgiennes dans les secteurs opérationnels dans les provinces de Siemreab et Kampong Thum.
En 1950 :
En juin 1950, un protocole est signé et les gouverneurs provinciaux sont assignés de la responsabilité de la pacification des territoires sous leurs juridictions.
Le début des années 50 a été marqué par des étapes importantes dans le développement des forces militaires cambodgiennes :
En 1952 :
En juin 1952, prince Sihanouk met en scène ce qui s'est nommé « un coup d'état royal.
En octobre : son unité revient à Phnom