Histoire
Il n'est jamais trop tard, et pourtant cette fois, je crois que si. Je pense que ça ne sert plus à rien de se battre, d'essayer de changer les choses, de s'accrocher. À part me faire du mal, ça ne fait pas grand-chose. J'ai décidé de changer, et que mon cœur redevienne de pierre. Je repars de zéro. Tes mots ne m'atteindront plus, tes gestes non plus. Je ferai comme si je ne t'avais jamais parlé, jamais connu. Je ne sais pas si c'est la bonne solution, mais c'est ça ou souffrir d'avantage. Et, personnellement, je n'en peux plus de souffrir. Alors je passe à autre chose, je vais de l'avant et je verrai bien ce qu'il va se passer.
J'ai souvent cru être passé à autre chose. J'ai souvent cru t'avoir oublié. Mais non, je m'en rends compte maintenant, t'es toujours là, au plus profond d'mon cœur.
Comment ais-je pu croire à ses débilités que l'on sort juste quand on aime, à ces foutues promesses qui ne veulent strictement rien dire ? Ce sont juste des mots alignés pour former une putain de phrase qui vous fait croire au bonheur. Seulement le bonheur est éphémère, tout comme l'amour.
Ferme la ta gueule j'ai envie de dire. Ferme-la. Ferme-la. Ferme-la. Mais ferme-la merde !! Si tu l'ouvre encore une fois pov'con, je t'assure que je te refais le portrait ! Je vais pourrir ta jolie gueule d'ange déchu tu m'entends ? Il y a des claques qui se perdent. Je t'assure, y a vraiment des paires de claques qui se perdent ... Comme les centaines que ma main aurait du t'envoyer. Moque-toi, vas y. Ris de tes belles dents, plus belles pour longtemps. Je te crache l'amour en pleine face, et te dégueule mes « je t'aime » un peu brouillon. Mais ferme-la merde. Je ne t'aime plus, je ne t'aime pas, je ne t'ai jamais aimé. Tu n'es qu'un passage un peu