Historien et les mémoires de la seconde guerre mondiale
La France Gaullienne, le mythe résistancialiste :
Sortir de la honte :
De Gaulle à la libération exprime que les collaborateurs n’on été qu’une minorité et que la nation dans son ensemble était unie dans la résistance et que Vichy n’était ni la France ni la République. On a appelé ça le mythe résistancialiste : le mythe d’une France unis et résistante. Ce mythe va durer juste à la fin années 70, dans cette création de mémoire beaucoup de films ont contribué à mettre en scène des héros de la résistance et où l’on évoque ni les collaborateurs ni la France de Vichy. Dans l’apothéose de ce mythe il y a le héro incontesté Jean-Moulin, ces cendres seront amenées au panthéon en 1963 avec une grande cérémonie.
Ce mythe est mis à mal en 1947 avec le début de la guerre froide, les communistes quitte le gouvernement et commence à critiquer le gouvernement et à ce présenté comme les seuls vrais résistants en disant que 75 000 d’entre eux avais été tuées dans la résistance, mes ces chiffres on été rapidement démentie par leur démesure.
B) Conséquences :
Les mémoires divergent en deux courant très distinct l’un des communiste et l’autre des Gaulliste. Il n’y aucune réflexions sur
Il y a un silence sur la Shoah car la France ne veut pas avouer le comportement de la France de Vichy contre les juifs. La mémoire est univoque le mot juif n’est presque jamais énoncé, on évoque uniquement les résistants. Il y a une volonté de mettre en scène une France unie, on interdisait la création de documentaire si ils évoquaient le rôle de la France dans les camps de concentration. Les enjeux mémoriels depuis les années 70 :
L’évolution des mémoires de la résistance :
Avec le départ du Général De Gaulle en 1969 il y a une révolution des mémoires. Le mythe résistancialiste de la France est déconstruit. On voit apparaître de nouveau documentaire comme « Chagrin et la pitié » de Marcel Ophuls,