CULTURE : HONDURAS
Francisco Morazán a mené la lutte pour l'indépendance de l'Espagne (réalisé en 1821) et la résistance à l'éclatement de l'Amérique centrale (1830). En 1855, les soldats américains du Nord de la fortune (filibusterers), dirigé par William Walker a essayé de convertir l'Amérique centrale dans une colonie des États-Unis. Ils ont tenu le Nicaragua jusqu'à ce qu'ils ont été expulsés en 1857 par le Nicaragua troupes régulières et des combattants volontaires. En 1860, Walker envahit le Honduras, à Trujillo, où il a fini devant un peloton d'exécution armée. Entreprises Unies banane États dominé la vie politique hondurienne après 1911. Sociétés fruitières ont été en mesure de choisir les présidents et jusque dans les années 1970 étaient assez puissants pour refuser de payer des taxes plus élevées imposées sur les exportations de bananes par le gouvernement militaire. Une lettre 1920 par un dirigeant de la société américaine fruits décrivant la façon dont les politiciens facilement Honduras pourrait être corrompu et dominé est toujours une source d'embarras national. Étant donné la relation du Honduras avec les États-Unis, la culture nationale est souvent définie par opposition à celle des États-Unis. Honduriens se sentent des affinités avec d'autres Latino-Américains et d'Amérique centrale, bien que cela soit mêlé de crainte et le ressentiment de certains pays voisins, en particulier El Salvador et le Nicaragua.
La conquête espagnole a été un épisode violent de génocide et de l'esclavage. Il a produit un peuple mélangé européenne, natif américain, et l'ascendance africaine. De nombreux pays d'Amérique latine ont une même grand groupe ethnique appelé métis ou créoles, mais ce qui est inhabituel sur le Honduras, c'est que les personnes de langue espagnole d'ascendance mixte, qui représentent environ 88 pour cent de la population, se disent fièrement indios (Indiens). Honduriens appeler des peuples autochtones indígenas, non indios.
Relations ethniques.