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L'accord du nom est déterminé par le déterminant qui le précède : « les premiers jours », « le froid », « les cris », « des balayeurs », « leurs seaux », « la classe », « de longues discussions », « des disputes ».
Remarques : le nom « vingtaine », bien que singulier, évoque une pluralité qui entraîne le pluriel du groupe nomimal complément : « une vingtaine de grands élèves » ; de même, l'adjectif cardinal « quatre » suppose le pluriel dans « quatre heures » ; le pluriel des noms se terminant par le suffixe -eau est -eaux ; le nom masculin « un cours », à ne pas confondre avec son homonyme féminin « une cour de récréation », prend un -s au singulier.
L'adjectif qualificatif s'accorde en genre et en nombre avec le nom qu'il complète : « les premiers jours », « grands élèves », « longues discussions », « disputes interminables ».
Le pronom relatif « desquelles » s'accorde avec son antécédent « disputes » au féminin pluriel.
« Tant », de la même famille que « autant », exprime une quantité et ne peut être confondu avec la notion temporelle qu'implique son homonyme « le temps ».
De nombreux termes sont invariables : mémorisez les accents, graves ou aigus, les traits d'union, et les terminaisons avec ou sans -s : « malgré » (issu de l'expression de « mauvais gré », signifiant contre sa volonté), « dès que », « après » et « toujours » , « chez », « c'est-à-dire ».
Certaines lettres ne sont pas prononcées à la fin ou à l'intérieur d'un mot : « grands » (dont le -d s'entend au féminin dans « grande »), « bourg » (qui donne « bourgade ») et « vingtaine » dont le -g provient du chiffre « vingt ».
De nombreux mots comportent une consonne double : « pensionnaire », « cessa »,« classe » ou « discussions » et « glissais » , « battante », « serrés ».
Le son « é » se transcrit sous différentes formes : -ez dans « chez », -ers dans « premiers », -é dans « désertée », -ay dans « balayeurs », -es dans « les », -ai dans « avait ».
De même, le son «