Institutions policières utilité pour la recherche
Cette expression « objet sale ». Pendant longtemps, l'université n'a pas étudié la police : rejet ?, peur que l'on trouve ça suspect ?... L'Armée ne s'intéresse pas à la Gie car elle n'est pas assez militaire et les civils non plus, parce qu'elle est trop militaire
1. Les polices : un système, des pratiques et des acteurs en interaction avec leur environnement
Depuis 15aine d'années, étude de l'institution policière qui est en interaction avec d'autres systèmes (garde champêtres, police en agglomération).
Institution est vue par les historiens comme un ensemble de pratiques donc acteurs. Ce sont les hommes et les femmes qui font la Gie et la PN. Donnent corps à l'institution. En soit, la Gie n'existe pas.
C'est aussi un ensemble d'images. Représentation est un facteur de renouvellement. Puissance de l'institution vient de sa légitimité qui vient de l'image donnée.
Ce sont des interactions avec environnement général. On ne maintien pas l'ordre pareil en fonction de la géographie et des populations, des politiques locales agricoles ou rurales
Police est enracinées dans environnement social, culturel...
2. Les polices : sont aussi des observatoires originaux de l'Etat et des sociétés
Intéressent l'historien comme instrument de l'Etat mais aussi dans ce qu'il révèle de la société. Intérêt des production de main courantes ou de PV. On peut lire et en cherchant autre chose que ce qui concerne l'infraction. Ils retranscrivent souvent les mots exacts dans l'audition. Par ces écrits, on peut apprécier la parole populaire. Les catégories supérieures sont celles qui ont le plus écrit car le temps et maitrise de l'écriture. A l'inverse, dans les milieux paysans et ouvriers, on ne trouve rien donc l'historien est démuni sauf s'il utilise les PV des gendarmes seule force de police jusqu'en 1941.
Au 19ème, Gd retranscrit parole de ceux qui sont interrogés. Précieux pour historiens car