Jankélévitch, l'ironie
Ce texte a pour thème la « déontologie du vrai »
Déontologie : code morale attaché à une profession
Il veut nous faire comprendre que l’usage de la vérité demande lui aussi une certaine déontologie c’est à dire des règles, dans les mesures ou la révélation de la vérité peut être plus nuisible que bienfaisante.
Toute vérité n’est pas bonnes à dire : l’auteur ne masque pas son avis sur la question il n’est pas dans la même obsession que Kant il n’est n’y abstrait n’y allégoriste.
Pour lui il faut faire attention à l’état psychologique et faire attention à la maturité de la personne que l’on a en face
Il va définir les règles de cette « déontologie du vrai » :
1. Il y a un temps pour chaque vérité, il faut trouver le moment opportun pour révéler une vérité
2. Comment dire la vérité, de quelle façon annoncer une vérité.
L’euphémisme : atténuer
Périphrase : tourner autour du pot
Pour lui la plupart du temps il faut dire la vérité.
Il prend l’exemple de l’histoire qui est assez révélateur, car on a le droit de connaitre l’histoire. Il faut tenir compte de la fragilité des personnes, la vérité peut être inutile. L’omission de la vérité peut être source d’espoir.
Dilemme (ou cas de conscience)
Cette question sur le mensonge et sur la vérité nous a conduits à réfléchir sur le dilemme, les cas de conscience, est ce que je dois parler, est ce que dois me taire, que dois-je faire, ce sont ces questions qui montre que nous sommes des êtres moraux sans quoi on ne se poserait jamais ce genre de questions or tout le monde c’est déjà posé ce genre de questions, il nous était apparue que dire la vérité est un devoir évidente, mais avec le temps on se rend compte que cela est difficile.
Celui qui n’a jamais menti est un