Jean de la Fontaine dénonciation de la cour
Jean de la Fontaine a un certain esprit de jugement de la cour de France dans ses écrits. Dans certaines de ses fables, il utilise des animaux pour pouvoir critiquer les incohérences du pouvoir royal de son époque et pour éviter la censure. Parmi les personnages qu'il choisit, il y a toujours un supérieur hiérarchique qui est souvent vaniteux et profite trop souvent de son pouvoir comme le lion qui est une représentation du roi. Et il met en évidence l’hypocrisie des ces personnages. Exemple du lion qui est gentil mais qui serait prêt à sacrifier son peuple. Dans la cour, autour du roi, il y a aussi les courtisans souvent égoïstes, qui ne cessent jamais de faire les choses en leurs intérêts. Quelques fois, leurs flatteries se retourne contre eux et nous prouve que parfois il n'est pas bon d'être trop mielleux ni trop sincère dans ses paroles mais de répondre sans se prononcer. Mais souvent leurs flatteries les disculpes des taches qu'ils veulent éviter et il profite de la faiblesse d'une autre personne, pour en faire un bouc émissaire. C'est de l'injustice envers les faibles, qui eux payent les conséquences d'actes beaucoup plus grave que ce qu'il on fait ou qui ne sont pas forcément les leurs. Les plus faibles sont aux services du supérieurs avec des conditions de travail difficiles et ne doit pas se rebellé sous peine de punition. Ils sont asservis et La Fontaine dénonce cette asservissement.